Acheter une entreprise est en théorie une décision difficile à prendre. Cela n’a pas été le cas pour Bloom at Work.
Cela faisait un moment que je harcelais Guillaume Allain, le CPO de Lucca, pour que nous ajoutions à notre catalogue une solution permettant de prendre le pouls des collaborateurs. Une solution qui permette aux collaborateurs d’exprimer, de façon anonyme, ce qu’ils pensent de la stratégie de leur entreprise, de leur manager, de leur charge de travail, etc.
Guillaume me rétorquait, à juste titre, que ce serait un développement assez lourd car les contraintes liées à l’anonymat des réponses étaient peu compatibles avec notre architecture dans laquelle chaque collaborateur est précisément identifié notamment pour gérer ses droits.
Jusqu’au jour où j’ai croisé Bloom. J’ai vu leur produit, et j’ai compris qu’il nous serait difficile de faire mieux, voire aussi bien.
J’ai apprécié la simplicité de l’outil, en accord avec ce que nous essayons de faire avec nos propres logiciels.
J’ai aussi apprécié l’équipe d’une dizaine de personnes, notamment les deux fondateurs, Charles et Julie, qui, en quelques années, ont réussi à convaincre une cinquantaine d’entreprises et 200 000 collaborateurs d’utiliser leur logiciel.
Ils ont également acquis une expertise sur la façon dont on doit traiter les résultats des enquêtes, car il ne s’agit pas simplement de mesurer. Il faut ensuite agir.
C’est d’ailleurs la principale différence entre les solutions traditionnelles de Lucca et de Bloom. Les solutions Lucca enlèvent du travail aux responsables RH en automatisant les processus. La solution Bloom, au contraire, leur en donne !
Plus précisément, Lucca leur enlève du travail inutile, et Bloom leur donne le type de travail pour lequel ils ont embrassé leur carrière.
Pour en savoir plus sur Bloom at Work.