J’ai créé Lucca en 2002.
En cette année marquée par la pandémie, Lucca a poursuivi sa croissance et dépasse désormais le seuil du million d’euros de MRR sans jamais avoir fait appel à des investisseurs externes.
Lucca a d’abord été financée par ses clients, ponctuellement par des emprunts bancaires et plus récemment par ses propres salariés. 37 d’entre eux (sur un total de 220) sont aujourd’hui actionnaires de leur outil de travail.
En effet, j’ai toujours pensé que les neurones étaient plus rares et plus précieux que les euros, et j’ai donc refusé les propositions d’investisseurs professionnels. Je cherche des croisés plutôt que des mercenaires ou des bailleurs de fonds !
Mais, aujourd’hui, pour la première fois de son histoire, Lucca ouvre son capital à un tiers non-salarié, Stéphane Dietrich.
Si j’ai changé d’avis, ce n’est pas parce que Lucca a besoin de fonds – Lucca n’a pas besoin de fonds – mais parce que, avant d’être un investisseur, Stéphane est un entrepreneur avec une grande expérience dans des domaines précieux pour Lucca.
Stéphane Dietrich, multi-entrepreneur et co-fondateur de Neolane, revendue à Adobe en 2013 pour $600 millions va nous apporter son expertise dans le domaine du marketing et du développement commercial à l’international pour permettre à Lucca d’accélérer sa croissance et atteindre un objectif de 100 millions d’euros de CA en 2025.
C’est un objectif ambitieux. L’arrivée de Stéphane me rend encore plus confiant sur le fait que nous allons l’atteindre.